COLLABORATEURS

 

Il convient de distinguer les collaborateurs « directs » (au nombre d’une centaine, ou deux, selon que l’on accorde ou non une certaine réalité aux avatars du camarade fondateur, etienne cornevin, l’autre compère étant Pascal Varejka, l’éléphantologue, qui reste fidèle à son identité légale à travers les métamorphoses de son pachyderme favori) des collaborateurs « indirects », dont le rédakchef utilise des œuvres ou des textes préexistants, non expressément sollicités. Les collaborateurs indirects sont divisibles à leur tour en vivants(anthumes), à l’approbation desquels on soumet ce que sur ou d’eux on publie, et posthumes (morts), dont on traite les œuvres avec respect et circonspection et dont, par divers rituels propitiatoires, on essaie d’amadouer les éventuels ayant droits. Parmi les collaborateurs indirects anthumes, il faut distinguer les« piliers » (1), qui sont représentés dans presque chaque n°, et les très-estimés (2), qui sont souvent des amis du patron. Il y a aussi ceux, non moins très estimés – ce sont d’ailleurs quelquefois les mêmes – qui envoient des photos ou des « remarques » pour le Journal de bord de la Berlu.

 

Collaborateurs directs:

 

etienne cornevin, rédacteur en chef de la revue, signe de son nom les textes relatifs aux journées d’études sur les livres monstres qu’il organise chaque année depuis six ans dans le cadre des cours qu’il donne au département art de Paris 8. Initialement son intention était de ne consacrer que les numéros impairs à la restitution du meilleur de ces journées, mais le rythme de parution étant passé de deux à un numéro par an, les pairs y passent aussi et on trouvera donc des textes signés de son nom ou de ses initiales dans les numéros 1,3, 5 et 6. Par ailleurs selon des sources bien informées, il ne serait pas étranger à ce qui est signé : 

        M.Adman Adam : poète learique, apparu dès le n° 3, et régulièrement présent depuis ; on trouvera sa biographie dans le n°4, et au dos de Notre nain quotidien, recueil de ses limericks publié en 2005 aux Éditions du Céphalophore entêté

        Francis Caïn : essayiste réhabiliteur, qui, dans le n°2, a osé prendre la défense de Grandville contre Baudelaire lui-même

        Carla Caral : assistante, goûteuse

        Horfé Destonnes : critique d’(h)art, (h)auteur dans le n°1 d’une Introduction à la Picabiologie

        Emanuelle Elleunamme : secrétaire générale de la rédaction, très férue d’érotisme palindromatiste

        Sinon Evero & Ben Trovato : heureux parents d’Adman Adam

        Phari Goole : critique de pohésie : auteur d’un vibrant éloge, sous le titre de Zarathoustra tousse trop (n°1), de la réédition, par Christian Laucou et les éditions du Fourneau, des très parodiques 7 chrysalides de l’extase de « Retoqué de Saint-Réac »,

      Ladislav Hapr : infographiste pour qui chaque nouveau numéro est l’occasion d’essayer de nouvelles solutions (et qui a eût tendance à abuser du jaune et de l’orangé)

        Huber Hurl :  amateur de burlesque au nom prédestiné, auteur de l’éditorial du numéro 6 : L’année du Burl

       Hermann Krankwein : critique moins sujet au mal de vin que son nom ne laisse augurer, qui divague aussi bien sur des livres que sur des expositions, à condition toutefois que leur teneur en alcool humoristico artistique soit suffisante

      Hannibal Leichtpflucht : philosophe germano-champenois qui trouvait que le Gai Savoir de Nietzsche n’était pas assez amusant et à entrepris d’écrire une Défense et Illustration du Gai Mentir dans le numéro 6

       Evin Nore : critique d’(h)art et po(h)ète, (h)auteur dans le n°1, sous le titre L’exposition invisible, d’une très magrittéenne réflexion sur l’exposition de Magritte qui se tenait alors au Jeu de paume, ainsi que d’un recueil de pas tout-à-fait haïkus publié aux Éditions du Céphalophore entêté sous le titre de Like Haïkes

    Geffrey O Valle  : critique théologico-politique qui, dans le n°1, sous le titre blanc On n’est pas des corbeaux a apporté son soutien à la vieille conception marginale des Trois imposteurs

    51 pères impairs, du Père A au Père Ylleux, en passant par le Père Dralène et le Père Manganateconvoqués dans le n°4 pour examiner la grave question des Difficultés à utiliser l’échelle à mesurer le poids de la Grâce

      Arne Saknüssemm : critique de pohésie spéléologique, qui dans le n°1, sous le titre programmatique Comment ça tire ?, examinait les comment des satires de Juvénal et, dès le n°2, approfondissait sa réflexion en écrivant de longs « Prolégomènes à une ‘’’pataphysique des hybrides, monstres, trolls et autres anti-êtres imaginaires extraordinairement extraordinaires »

      Jacques Samprenon : directeur de la publication, dont l’innocente manie est de se prendre pour un couteau sans lame auquel il manque le manche

      Smagdt : critique d’(h)art, fils naturel de Magritte et Scutenaire, qui pour l’instant n’a écrit que sur les rapports tordus et compliqués de ses parents  (Mag par Scut – n°1)

   Mäk Sorgsky :  qui se présente, à l’orée de sa longue suite d’études sur des (h)artistes, dans le n°4, comme compositeur wagnero-minimaliste, diplômé du 7 Massaïs chauves Institut d’atopotaphysique

    Théodulphe Tête de pioche : essayiste rescapé d’un roman burlesque épastrouillant de cape et d’épée, (h)auteur d’un long essai sur Le nez et l’imagination, publié dans le n°5

    On doit enfin à E. dit Torial (Eddy), la Première tentative de localisation des Nouvelles Hybrides, dans le n°2, et l’Introduction de et à l’atopotaphysique, dans le n°4

    Pascal Varejka (1952) est le fondateur d’une science dont le besoin se faisait généralement sentir : l’éléphantologie, qui étudie tout ce qui est relatif au pachyderme, sans trop s’embarrasser de toujours discutables distinctions entre le réel et l’imaginaire. Comme, selon les mots de Vialatte, « tout ce qui concerne l’éléphant concerne l’homme », l’éléphantologie est une sorte d’humanisme indirect, qu’on ne confondra pas avec la collecte naturaliste de données positives sur les grosses bêtes à gros pif non plus qu’avec l’art subtil du cornac. Si vous êtes intrigué(e) par cette nouvelle discipline, vous pouvez lire les études toujours plus consistantes dont l’éléphantologue a gratifié les numéros déjà parus de Nouvelles Hybrides : 1. Brève introduction à l’éléphantologie 2. À la recherche des éléphants monstres (vers une éléphantératologie ?) 3. L’évolution du goût chez l ‘éléphant 4. L’éléphant et la Grâce 5. L’éléphant a un sacré pif . Vous pouvez également lire Singularité de l ‘éléphant d’Europe, petit livre-lexique publié en 2007 chez Ginkgo, ou encore essayer de vous faire envoyer, en écrivant apascal.varejka@libertysurf.fr, la « gazette artisanale » intitulée L’éléphant rose (en général, l’équivalent en Bourgogne grand cru d’un dixième de la ration journalière d’un éléphant suffit à l’amadouer).

Collaborateurs indirects :

– les piliers :

Alwa (Alain & Wasthie) Comte : Comment filmer un monstre ? (n°2) – essai d’et.c. sur les podopolaroïds arrangés par Wasthie dans le n°4 – panneaux photographiés par Alain Comte dans le n°5 – contributions régulières à la Berlu – critique d’une exposition de Wasthie par Hermann Krankwein dans le n°6

Guillaume Dégé (1967) : Non à l’agriculture (n°1) – Art décoratif : autoportrait (n°2) – Communication à la journée d’étude sur les livres monstres par collages (n°5) – dessins dans presque tous les n°s, couvertures du n°5 – essais d’et.c. dans les n°s 1, 4 et 5 –

Jean Dupuy (1925) : Comment je trouve les anagrammes dont je farcis mes livres (n°1) – contributions au n°2, au n°4 et au n°5 – essais d’et.c. dans les n°s 1 et 4 –

Rudolf Fila (1932) : textes traduits dans les n°s 3 (sur Sima), 5 (sur Kolar) – couvertures du n°3 – reproductions dans les n° 2, 4 et 6 –

Vincent Puente (1968) : Comment je n’ai imaginé aucun de mes livres ou l’histoire considérée comme une huître perlière (n°1) – texte pour l’enquête du n°2 sur les monstres et hybrides – contributions aux n°1, 2, et 4 – essais d’et.c dans les n°s 1 et 4 – dictionnaire du sens perdu des mots + étude d’ et.c dans le n°6

François Righi (1946) : Comment j’ai « écrit » certains de mes livres (n°1) – contributions aux n°s 1 et 3 – essais d’et.c dans les n°s 1 et 3 – contribution nouvelanesque au n°6

– Les très estimés:

             Edith Andrieu : tête et mains des légendaires Editions du paréiasaure (1992-2002) étude dans le n°6

Guénolé Azerthiope : (re)présenté dans le n°4

André Balthazar (1934) : po(h)ète  crit(h)ique, cofondateur avec Pol Bury, des Editions du Daily Bul, présenté dans le n°6

Yvan Bernaer (1975) : présentation et nouvelle (Emile et la courge) dans le n° 6

Klara Bockayova (1948) : (re)présentée dans le n°4 (essai d’et.c)

David Boeno (1955) : (re)présenté dans le n°5 (essai d’et.c)

Philomena Borecka (1977) : (re)présentée dans le n°4 (essai d’et.c)

Vladimir Borecky (1941) : (re)présenté dans le n°4 (essai d’et.c)

François Bouillon (1944) : (re)présenté dans le n°3 (essai d’et.c)

Alain Bresson (1948) : représenté, comme patatératopracte, dans le n°2

Roland Breucker (1945) : dessinateur po(h)ète burlesco-grotesque qui aime faire des livres avec son complice André Balthazar et a grandement et fameusement renouvelé l’inspiration dailybulicque

Cozette de Charmoy (née un 3 Août) : (re)présentée dans les n°s 2 (comme patatératopracte) et 5 (essai d’et.c)

Dalibor Chatrny (1925) : (re)présenté dans les n°s 2 (comme patatératopracte), 4 (essai d’et.c) et 6

Paul Cox (1959) : représenté dans le n°4 (essai d’et.c)

Charles Dreyfus : (h)artiste-po(h)ète, producteur de calembour extra fins ; article d’Hermann Krankwein dans le n°6

Daniel Fischer (1950) : représenté, comme patatératopracte, dans le n°2

Kurt Gebauer (1941) : (re)présenté dans les n°s 2 (comme patatératopracte) et 4 (essai d’et.c)

Eberhardt Hauptbahnhof (1949) : (re)présenté dans le n°4

Adolf Hoffmeister (1902 – 1973) : représenté, comme patatératopracte, dans le n°2

Xenia Hoffmeisterova (1968) : représentée, comme patatératopracte, dans le n°2

Jozef Jankovic (1937) : représenté, comme patatératopracte, dans le n°2

Otis Laubert (1946) : (re)présenté dans le n°4 (essai d’et.c) et 6

Pierre Laurendeau; importante contribution angevine à la Berlu dans le n°3 et, comme critique de cinéma tricamélique, sous le nom de Péhel, dans le n°6

Dominique Lonchampt (1952) : représentée, comme patatératopracte, dans le n° 2

Pierre Maunaury Joinul : psychiatre et collectionneur d’art brut passé sur le tard du côté des illuminés qui renouvellent les formes de la pas si folle folie ; article d’Hermann Krankwein dans le n°6 ; voir les sites www.dicomono.com, www.joinul.com

Hervé Moritz : Ingénieur en chef du Laboratoire d’Inventions Scientifiques (L.I.S) et rédacteur en chef des Cahiers des Amis du Laboratoire d’Inventions Scientifiques (C.A.L.I.S) ; présentation et conférence dans le n° 6

Daniel Nadaud (1942) : représenté, en tant que patatératopracte, dans le n°2

Élodie Pacaud (1980) : (re)présentée dans le n°4 (essai d’et.c)

Dorota Sadovska (1973) : (re)présentée dans les n°s 2 (en tant que patatératopracte) et 4 (essai d’et.c)

Jean-Marc Scanreigh (1950) : représenté dans les n°2 (comme patatératopracte)

Francis Schach : (re)présenté dans le n°4 (essai d’et.c)

Dorothée Selz (1946) (re)présentée dans le n°4 (essai d’et.c)

Frantisek Skala  (1956) : (re)présenté dans le n°4 (essai d’et.c)

André Stas () : contributions aux n°s 4 et 5

Jan Svankmajer (1934) : représenté, comme patatératopracte, dans le n°2

Ernest T. (1943-1991 ; réincarné depuis en Toorop et Glabel) : (re)présenté dans le n°4 (essai d’et.c)

Willem : représenté, comme patatératopracte, dans le n°2

 

 

En toute modestie, nous nommerons
Génies tutélaires de la revue
les morts éternellement vivants
dont des passages ou des reproductions
sont cités ou montrés dans Nouvelles Hybrides

Charles Baudelaire (1821-1867) : Francis Caïn a corrigé sa génialement perfide caractéristique de Grandville dans un sens qui rend mieux justice à l’auteur d’Un autre monde, mais Arne Saknüssemm, dans ses élucubrations tératopoétiques, reprend et prolonge la plupart des intuitions de son essai sur l’Essence du rire et le comique dans les arts plastiques(NH2)

Cami (1884-1958) : ce génie burlesque dont Chaplin disait qu’il était « le plus grand humoriste in the world » et dont l’oubli actuel en dit lourd sur le peu de légèreté de notre époque, est abondamment cité, invoqué et évoqué dans le n°6 qui est justement consacré au burlesque

René Daumal  (1908-1944) : son texte « la pataphysique et la révélation du rire », d’une hauteur de vues rarissime en son temps (et définitivement inaccessible, hélas, aux borgnes biglissimes qui se disputent aujourd’hui la préséance intellectuelle), a été le déclencheur des réflexions intempestives développées par et.c pour le colloque de Reims sur Le Grand Jeu aujourd’hui (2004), qui sont reproduites in extenso -et avec extensions- dans le n°3 de Nouvelles Hybrides

Max Ernst (1891-1976) : ses livres de « poèmes visibles », principalement La femme 100 têtes et Une semaine de bonté, font l’objet d’une étude approfondie dans les Inactes de la journée d’étude consacrée aux livres par collages (n°5)

Jean Ignace Isidore Grandville (1803 – 1847): a fourni beaucoup de l’inspiration et des illustrations du n°2 de Nouvelles Hybrides, qui lui est d’ailleurs dédié

Maurice Henry (1907 -1984) : considéré par certain(e)s humorologues comme l’inventeur du dessin d’humour ; dans la mesure où c’est vrai (les dessins qui accompagnent les limericks et autres contes nonsensiques d’Edward Lear ne sont pas seulement des caricatures, non plus que les dessins de Grandville pour Un autre monde), il ne serait pas totalement dépourvu d’une absence d’incongruité non nulle de déceler entre cette invention et le pataphysicalisme avoué de Maurice Henry un rapport (deux dessins sont reproduits dans NH3)

Victor Hugo (1802-1885) : Arne Saknüssemm tient le long essai sur le Grotesque de la Préface de Cromwell pour un des textes fondateurs de cette nouvelle pata-science, la tératologie poétique, dont il a tenté d’énoncer quelques théorèmes dans NH2

Vincent Hyspa (1865 -1938) et Jules Dépaquit (1869 – 1924) : les conférences de l’un, illustrées par l’autre et publiées en 1921 sous le titre pré-allenique L’éponge en porcelaine, nous ont paru constituer un excellent prolongement des divagations de Théodule Tête de pioche sur le nez et l’imagination, et nous en avons publié une dans le n°6, en espérant qu’un éditeur plus costaud en fera une réédition

Alfred Jarry (1873-1907) et la pataphysique sont particulièrement présents dans le n°3, où l’on trouvera un assez long essai du rédac chef himself sur « quelques grands joueurs plus patas que les ‘patas », mais aussi une étude de Christian Laucou sur les livres (monstres) du Collège de ‘pataphysique [ l’idée d’une vie de la pataphysique antérieurement et extérieurement à ce que reconnaît ou signe le dit Collège n’a, curieusement, pas plu à certains de ses dignitaires, qui, depuis, prouvent antiphrastiquement leur aptitude à l’autocritique en ignorant systématiquement la revue où elle était formulée ; il y a bien sûr une certaine drôlerie à imaginer les ubuïficques marionnettes animées par des autruches, mais … c’est plutôt triste, et les « collégiens » qui ne se reconnaissent pas dans ces comportements ridiculement sectaires pourraient peut-être se manifester]

 

Jiri Kolar (1914-2002) : cet autre géant tchèque de l’art-poésie moderne et contemporaine, qui a ouvert au collage des possibilités entièrement distinctes de celles qu’avait exploré Max Ernst (très proches par contre de l’esprit « potentialiste » de Queneau et des OuXPistes), après avoir été mondialement célèbre dans les années 60 et 70, est inconnu aux bataillons de créateurs admirés par les jeunes générations d’artistes (comme d’ailleurs presque tous les grands de ce qu’on a appelé « poésie concrète », « poésie visuelle » ou – c’était le terme de Kolar – « poésie évidente »). Une longue étude lui rend hommage dans le n°5 de Nouvelles Hybrides.

 

Ladislav Novak (1925-1999) : les images de couverture du n°4 sont des alchimages du cycle des Métamorphose d’Hadliz, qui devrait paraître incessamment sous plus ou moins peu aux Éditions Clémence Hiver, dans la traduction d’et.c. (le très-drôle-et-néanmoins-très-poétique – à moins que ce ne soit le contraire- « livre de recettes » du même auteur -et même traducteur- est disponible depuis quelques années)

Francis Picabia (1879-1953) : dans le premier n° de Nouvelles hybrides, Horfé Destonnes, au nom de l’AOPM (Association des Organismes Picabiologiquement Modifiés) en fait un panégyrique girant et sans panure, où l’on sent les échos de la « révélation » qu’il dit avoir éprouvé en visitant la grande rétrospective du Musée d’art moderne de la Ville de Paris (2002-203)

Raymond Queneau (1903-1976) : donne le la, et quelques autres notes du long essai d’et.c & Cie sur « quelques difficultés à utiliser l’échelle à mesurer le poids de la grâce » (n°4)

François Rabelais (v. 1483-1553) : a fourni la légende des mots gelés à NH3

Josef Sima (1891-1971) : la pataphysique de haut vol de cet immense peintre-poète a été, pour la première fois, mise en évidence dans le n°3, avec accompagnement d’une très dense étude de Rudolf Fila, intitulée « Celui qui harmonise les éléments »

Laurence Sterne (1713-1768) : son Tristram Shandy a donné beaucoup d’idées à Théodulphe Tête de pioche pour son essai sur le nez et l’imagination, dans NH5

Roland Topor (1938-1997) : ses réflexions sur le mensonge à l’origine de l’art ont fortement aidé Hannibal Leichtpflucht à condenser ses propres idées sur le Gai Mentir (n°6)

Josef Vachal (1884-1969) :  ce génial po(h)ète-graveur et bibliomane tchèque a « donné » les images de couverture, et une très belle Tentation de Saint-Antoine (pas très bien sortie, malheureusement) du n°6