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Avis (de forme)

à la popule

à « Si on … » :

les néo-hybrideurs

ont encore avancé

dans leur état d’hybriété !

ce qui se manifeste par la parution d’un troisième numéro de

Nouvelles Hybrides,

où cette fois encore, électric ami lecteure,

tu trouveras des réponses par milliers à des questions que tu n’avais jamais osé te poser !

Par exemple ?

Eh bien, en apéritif quelques jurons jadisonaguèrois, interprétés en mots

de gueule dégelés par Maître Alcofribas lui-même, puis, premier plat de résistance,

les Inactes d’une journée d’étude consacrée aux livres dont les éditeurs sont aussi,

plus ou moins, les auteurs (dans les termes de la première de couv sans vergetures :

« Des livres monstres d’avoir un corps

et des éditeurs artistes qui les conçoivent âme et corps »),

avec la participation (en général présente, mais quelquefois absente) de Jean-Jacques Sergent, Lucien Suel, Brigitte Rax, Christian Laucou, François Righi et Vincent Puente.

Ensuite, trou néormand, le journal de bord de la Berlu, fabuleuse embarcation

dont les chercheurs tous azimuts de nouvelles Hybrides n’ont pas hésité à se doter

et dont quelques passagers, matelots ou capitaines, ont rempli la boîte noire comme un trou.

Dans la foulée, première mondiale, M.Adman Adam nous a confié quelques gouttes de sa

très nouvelle et très berluïficque poésie learique

(et même leamericque, Amériques en verres d’O).

Lea lecteurice ainsi convenablement régénéreé peut alors aborder une assez

substantielle étude du rédac chef himself (etienne cornevin) sur

« quelques grands joueurs plus patas que les ‘patas »,

où ielle trouvera des considérations très originales sur Daumal, sa pataphysique et celle du collège,

mais aussi quelques suggestions sur Šíma pataphysicien,

précédées par un très admirable texte de Rudolf Fila (auteur également des images de couverture),

un éloge des pataphysiciens sans apostrophe et une apostrophe aux ‘pataphysiciens trop bien logés,

et des métapropos sur les patagrimaces de François Bouillon.

En guise de fromage, quelques daiformations, sous le titre Brongues en lef,

avec accompagnement d’extraits d’un catalogue d’avant-guerre de Manufrance,

et pour dessert, les savantes élucubrations de notre éléphantologue favori

(heureusement, il n’y en a pas d’autre), Pascal Varejka,

sur « L’évolution du goût de l’éléphant ».

Tout cela avec moult reproductions, couleurs et mises en pages esbrouffifantes

espécialement concoctées par le maître ès graphismes Ladislav Hapr.

[ce n° est épuisé, mais vous pouvez en obtenir un PDF imprimable

en le demandant à l’adresse du site : cfalorantt@orange.fr]