Marie Sochor, fondatrice et animatrice des Éditions du bas parleur, y publie un petit livre consacré aux insectes bibliophages, perforé en son centre (64 p, A6, 16 euros) et riche en détails sur ces minuscules martiens qui hantent nos bibliothèques :
De son côté Lorraine Balbo, étudiante aux Beaux-Arts de Nîmes, qui a le bon goût de faire un mémoire sur Ladislav Novak et Bernard Réquichot, utilise des pages d’éditions de poche de La recherche du temps perdu pour en faire des décoctions (http://rslnpgz.tumblr.com/) :
Et bien, mesdemoiselles, nous sommes au regret d’avoir à vous le rappeler :
un bon livre ne se grignote pas,
ni ne se consomme en tisane.
Un bon livre se dévore.
Comme Gérard Philippe l’avait très bien compris.