La technique du commentaire pictural a permis à Rudolf Fila de sortir du garde-à-vous admiratif de rigueur en matière d’art classique en lui ouvrant la possibilité d’un rapport souple, adapté, vivant aux chefs-d’oeuvre anciens (et modernes). Les livres de reproductions, les calendriers, les catalogues, les monographies ont été parmi ses partenaires de dialogue préférés, et ont donné lieu à des interprétations respectueuses même quand elles sont ironiques ou facétieuses (presque toujours). Ici quelques pages d’un gros livre interprété en 2002 (dont il a alchimisé un autre exemplaire, qu’il serait très intéressant de comparer page à page avec celui-ci, mais pour cela il faudrait que la génialité du moderne alchimiste soit un peu mieux reconnue, et … vous avez votre rôle à jouer …) [Pour les nouveaux venus sur ce site : vous pouvez agrandir les images, et déclencher le diaporama, en cliquant sur l’une d’entre elles]  

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on a fait des livres comme ça ! (il pèse au moins 5 kilos)

éclats de beauté

quelque chose de terrible, sûrement

à l’autrichienne, avec beaucoup de crème pâtissière (Sahne)

auréole d’argent (Saint sévère)

vous savez comment sont les enfants

de la suite dans les tracés

il y a un salut pour les oubliés comme pour les oublieux

ronde au carré

en tenue de faire-part

le jaune de son regard tourbillonne jusqu’à nous

il était temps que cette échelle de flèches le conduise au ciel

même celles qui l’ont tué sont émues par ses chants

Arnolfinfinis

une attaque de lumière cubiste : ouvrez les fenêtres !